En ces jours troublés, la réflexion apparaît comme salvatrice. L’heure n’est pas à une pensée trop intellectuelle qui pourrait manquer l’après coup et tomber dans les travers d’une excitation comme une lutte anti traumatique.
Mais comment se taire, alors que la vie reprend son cours et que les patients reviennent en séance.
Une première appréhension des événements se niche dans les détails, les perceptions, l’ancrage au quotidien, c’est pourquoi nous publions ici un texte que de Françoise Cointot, écrit à chaud, un poème de Samuel Zittoun et une réflexion de Jacques André qui reflètent nos questionnements et notre état d’esprit.
A lire sur http://lesenfantsdelapsychanalyse.com/breves-de-psychanalyse
et sur http://lesenfantsdelapsychanalyse.com/du-cote-des-arts
Nous vous proposons de publier vos réactions, vos billets d’humeur ou le fruit de vos réflexions, car nous avons besoin de mots pour sortir de notre désarroi et de notre stupeur. Les psychanalystes sont là pour ça, aussi…
L’équipe des Enfants de La Psychanalyse