En 2019, le 79e Congrès des Psychanalystes de Langue Française (CPLF) se tiendra en France, à Paris, et sera organisé par le Conseil du CPLF de la SPP avec le concours de l’Association psychanalytique de France (APF), et la participation des 21 autres sociétés composantes du CPLF dont les présidents ou représentants forment ensemble le Bureau international du CPLF. La tâche de ce dernier est d’anticiper et de discuter, sur proposition du Conseil, les thèmes et les lieux des futurs congrès, et d’infléchir ceux-ci en fonction du contexte et des circonstances, tant dans leurs formes que dans leurs contenus. 23 sociétés et associations composent ainsi le Bureau du CPLF, et deux organisations lui sont associées : les sociétés psychanalytiques de Belgique, brésilienne de Brasilia (SPBsb), de Porto Allègre (SPPA), de Rio de Janeiro (Rio 92) et de Sao Paulo (SBPsp), britannique, canadienne, espagnole, hellénique, israélienne, italienne, de Paris, portugaise, roumaine, suisse et SPRF (Société Psychanalytique de Recherche et de Formation) ; et les associations psychanalytiques de France, d’Istanbul, d’Italie, de Madrid, Psike (Istanbul). L’Association Psychanalytique Argentine (APA) et Núcleo portugais de Psychanalyse sont associés au CPLF.
Le Congrès
Il se tiendra à la Maison de la Mutualité, dans ce splendide théâtre Art déco de 1930 aux 1789 places, chiffre symbolique qui anticipait son futur destin de devenir un célèbre lieu polyvalent de la vie politique et culturelle parisienne et française. Privatisé pour le CPLF, ce bâtiment est situé au cœur du quartier latin, haut lieu historique de la transmission où était dispensé dans les universités, La Sorbonne en particulier, un enseignement en latin – d’où son nom, le quartier du latin –, qui fut traversé par toutes les avancées du savoir et les avatars de la pensée humaine.
La psychanalyse ne peut que se reconnaître dans un tel contexte, et en profiter pour s’épanouir. Le CPLF se transforme régulièrement d’une année sur l’autre. Il tente de s’adapter à chaque partenaire, à chaque pays où il se tient, à chaque thème. Pour 2019, c’est le rapprochement des termes de bisexualité psychique, sexualités et genres, qui a orienté l’organisation du congrès. Se retrouve convoquée toute une série de notions et d’expressions contemporaines ne faisant pas partie de la terminologie de la langue commune, ni du lexique psychanalytique, ni érotologique, telles que la « transition sexuelle », la « fabrique des sexes », le « corps-migratoire des réfugiés gays ou transgenres », ainsi qu’une kyrielle d’innombrables autres termes cherchant à définir par de nouvelles appellations, dont un grand nombre de néologismes anglophones, les multiples variations d’être-au-monde composant une séméiologie de l’identité ou orientation sexuelle, et laissant deviner le souhait très singulier d’être unique en son genre. Depuis 2014, aux USA, une liste de 52 ou 56 termes est proposée par Facebook au choix des utilisateurs de comptes, afin qu’ils puissent se retrouver au sein de cette liste, au plus juste de ce qu’ils considèrent correspondre à leur personnalité du point de vue de leur identité ou orientation sexuelle. Cette liste constitue Le dictionnaire des 52 nuances de genre de Facebook.1 Cette année, il nous aura fallu tenir compte de cette réalité. Aussi avons-nous décidé d’inviter des personnalités d’autres disciplines qui intègrent au sein de leurs références lexicographiques les notions de masculin, féminin et genre, afin qu’elles nous parlent de leurs définitions et de leurs usages de celle-ci, de ses apports et de ses limites. Ce seront bien sûr les Rapports rédigés et distribués avant le congrès qui formeront le socle du congrès, et qui seront mis à l’honneur dès l’ouverture. Cette année, c’est François Richard pour la SPP et Jean-Michel Lévy pour l’APF qui les présenteront par leurs conférences d’introduction suivies des interventions de leurs discutants respectifs. Immédiatement après auront lieu les deux séries de huit ateliers animés chacun par 3 collègues de sociétés composantes, parmi lesquels l’un d’eux assurera la fonction de relanceur de la discussion. Ces ateliers sont centrés sur les apports cliniques et théoriques de chaque rapport. Puis six tables rondes s’inscriront dans le thème général afin d’en approfondir tel ou tel aspect, certes en référence aux rapports, mais avec la liberté d’élargir le champ du thème. Parmi ces six tables rondes, deux seront consacrées à la psychanalyse avec l’enfant et l’adolescent, et l’une d’elles recevra des personnalités émanant d’autres disciplines qui nous feront partager l’intérêt et les limites des catégories du masculin, du féminin et du genre du point de vue de l’heuristique propre à leurs disciplines respectives. Côté analystes en formation, quatre ateliers cliniques, avec dans chacun un analyste formateur, sont organisés par les AeF de l’IPSO et des Instituts des sociétés composantes. Enfin les ateliers de l’International Journal of Psychoanalysis (IJP) et de la Revue française de psychanalyse (Rfp) nous rappelleront les rapports de la psychanalyse, son élaboration et sa transmission, avec l’écriture. Au total, ce sont plus de 80 intervenants, sans compter les présidents de séances ni les secrétaires scientifiques du Congrès, qui nourriront de leurs apports les discussions avec les congressistes en plénières et ateliers.
Le thème : Bisexualité, féminin‑masculin, métaphores et polysémie
Le titre du congrès place la bisexualité psychique en exergue, et convoque plusieurs autres termes qui désignent des champs de réalité différents, les sexualités et les genres. La bisexualité psychique est une notion psychanalytique à laquelle Freud s’est référée dès ses travaux en histologie, puis qui a été développée par divers auteurs (C. David). Les sexualités relèvent depuis Krafft-Ebing de la sexologie à laquelle il a fourni une classification organisée par la reconnaissance d’une psychopathologie de la sexualité. Les genres déclinent la notion de genre et ses divers homonymes. Le genre grammatical fut identifié par Protagoras suite à Aristote. Il différencie les catégories du masculin, du féminin et du neutre selon que les référents possèdent ou non un sexe. La notion de genre sera ensuite utilisée dans diverses classifications et dans plusieurs autres champs du savoir avec des sens variés. À partir de sa valeur différenciatrice en biologie (les espèces) et en linguistique (grammaire), elle fut associée au sexe par les sociologues désignant ainsi les différences non biologiques entre les hommes et les femmes. Grâce à la sociologie puis à l’anthropologie ont été distingués le genre sexuel lié aux données non biologiques, en particulier sociales et psychologiques, et le type sexuel défini par la biologie. La notion de genre fut reprise ensuite par la psychiatrie et la médecine, et par la psychanalyse aux États-Unis, avant de se diffuser très largement et à l’excès dans tous les champs de la culture, particulièrement dans les médias et dans de nombreux groupes de pression remettant en cause la stabilité et les référentiels impliqués dans la notion d’identité sexuelle, introduisant en contrepartie celle d’identité de genre, l’une et l’autre étant abordées comme des constructions, pour se prolonger dans les études de genre. Cette tentative de libérer l’identité de sa référence à la seule perception tangible, s’est prolongée par des considérations politiques avec une accusation des définitions traditionnelles d’être idéologiques, tout en brandissant des arguments qui en introduisent d’autres. Des développements plus récents ont remis en cause également la notion même d’identité tant sexuelle que de genre, au profit
de la construction de la pensée ; ce que soutenait déjà le célèbre aphorisme de Simone de Beauvoir : « On ne naît pas femme, on le devient », lui-même issu de celui, générique, d’Érasme « On ne naît pas homme, on le devient » ; avec en contrepoint l’affirmation de la biologie génétique, selon laquelle, « on ne devient pas femme, on naît femme ». Ces quelques mots d’introduction appellent une remarque. Le thème retenu est impliqué dans d’intenses polémiques, ce qui donne à penser.
Inclination au conflit et polémiques.
La bisexualité psychique a été initialement considérée par Freud comme une disposition constitutionnelle, un fond de prédisposition du psychisme. Puis très rapidement, il l’associe aux identifications précoces et post-œdipiennes, hystériques, narcissiques et fondatrices, la libérant, ainsi que ses corollaires, le masculin et le féminin, de définitions les associant trop étroitement à l’homme et à la femme, mais impliquant le maternel, le paternel et le conflit œdipien. À la fin de son œuvre, Freud complexifie la signification de l’expression bisexualité psychique, de deux façons ; en introduisant un conflit au sein de la bisexualité, entre masculin et féminin, soulignant un manque d’étonnement envers le choix d’objet bisexuel.
Il interroge ainsi la contrainte à la base d’un choix d’objet sexuel exclusif, choix non conciliant. L’étonnement pourrait donc se formuler de la façon suivante : pourquoi ne sommes-nous pas tous bisexuels ? Alors que le fantasme propose si facilement la solution d’un équilibre non conflictuel entre ces deux orientations ? Freud introduit alors une « inclination au conflit » plus fondamentale que la bisexualité psychique qui devient une qualité du fonctionnement psychique indispensable à la réalisation d’un choix d’objet, celui-ci renforçant celle-là. Cette inclination au conflit Freud la fait dépendre de la dualité pulsionnelle, de l’ambivalence pulsionnelle fondamentale, de la réduction de l’attraction régressive des pulsions exigeant une transposition d’une part de la libido sexuelle en libido narcissique investie dans le fonctionnement du psychisme et soustrait à la relation d’objet. Soulignons que cette inclination au conflit a été mise en acte dès la naissance de la psychanalyse, non pas à l’intérieur de la bisexualité, mais à propos de la bisexualité, entre Freud et Fliess, sur la paternité de cette notion, Fliess se sentant spolié par Freud de celle-ci. Elle s’est reportée ensuite au sein des polémiques autour de la notion de genre. Et elle apparaît après coup comme une matrice de polémiques agies. En fait, la mise à l’écart des conflits qui la concernent semble revenir du dehors parfois avec une extrême violence se portant sur les corps eux-mêmes ; avec ses scarifications, mutilations, transformations inscrites dans des performances esthétiques ou des projets de vie incarnés. L’autre complexification introduite tardivement par Freud porte sur une asymétrie entre masculin et féminin, asymétrie issue du fait que le terme féminin se trouve orienté vers une nouvelle acception par le biais de l’expression « refus du féminin chez l’homme et chez la femme ». La féminité est dès lors liée à la résistance la plus tenace qui soit, au point d’être qualifiée de « roc du biologique », empêchant l’avènement d’un fonctionnement psychique valant acceptation de notre impuissance à éliminer la réalité de tout manque. Selon cette logique, la bisexualité est une tentative de satisfaire une aspiration de complétude par l’appropriation du doublet masculin-féminin, et de limiter ainsi les éprouvés de manque. Freud parle de la « pleine fonction bisexuelle ». Une conséquence de ce refus est l’affaiblissement de la prime de désir, dans la mesure où ce dernier naît du manque, mais aussi le ravalement de l’objectalité en relation narcissique ou anti-traumatique, et le vacillement de l’humilité propice à l’érogénéité du « tu me manques ». La littérature et la mythologie ont déployé, et continuent de le faire largement, la lignée fantasmatique d’une telle appropriation de l’une des deux faces de la différence des sexes, celle du masculin-féminin, comme tentative d’esquiver les exigences inhérentes à son autre face, le couple nanti-dépourvu, couple qui remet en cause la complétude espérée a‑conflictuelle par le biais de la réunion des deux sexes, que cela soit par un hermaphrodisme solitaire ou avec un autre, joliment qualifié de « moitié ». Les termes de bisexualité, de masculin et de féminin, sont ainsi devenus sous la plume de Freud des métaphores de modalités psychiques qu’il convient d’approcher métapsychologiquement, leurs dénominations restant dépendantes des objets de la réalité perceptible sur lesquels ces modalités inconscientes se sont initialement transposées afin de pouvoir s’installer en tant que fonctions psychiques. Tel est le cas également des termes de maternel, paternel, voire même de père, mère, enfants, etc. quand ils sont utilisés en séance, polysémie qu’ils conservent souvent dans l’écriture de la psychanalyse, générant alors parfois des quiproquos et malentendus. Du point de vue psychanalytique, bisexuel, féminin, masculin ne sont ni à confondre ni à superposer avec le sexe anatomique, biologique, chromosomique, ni à attribuer restrictivement à ce qui est désigné, voire assigné de façon conjoncturelle comme relevant de l’homme ou de la femme. Pour la psychanalyse, la bisexualité psychique qualifie plus particulièrement le fonctionnement auto-érotique du psychisme, donc le sexuel du narcissisme, les auto-érotismes tant d’organes que d’objets. Elle devient manifeste dans toutes les activités masturbatoires. Dans cette même logique métaphorique d’autres doublets s’associent au terme de bisexualité tels que actif-passif, contenu-contenant, etc., à tel point que les constellations proposées par Freud en tant que Œdipe du garçon et Œdipe de la fille, sont à penser en terme d’Œdipe masculin et Œdipe féminin, et de façon encore plus précise, comme deux modalités, voire deux catégories d’Œdipe, un Œdipe-fille et un Œdipe-garçon. Les deux sont totalement indépendants des identités de garçon et de fille, et désignent avant tout deux rapports au surmoi, une précipitation en guise de refuge dans le premier cas, une esquive au profit du changement d’objet dans le second. Le même conflit entre renoncer ou non se retrouve dans les deux solutions dites « garçon » et « fille », celles du refuge et de l’esquive.
Sexualités
Le choix des trois termes du titre pourrait être interprété comme le souhait de prolonger et poursuivre le remaniement que fit Freud lui-même de ses Trois Essais de la théorie sexuelle, donc de répéter le geste de Freud de compléter sans cesse son ouvrage de 1905 ; de l’enrichir de nouvelles réalités concernant la sexualité, et de nouvelles réflexions sur l’implication du pulsionnel et des processus psychiques dans la vie sexuelle, et en particulier dans l’identité sexuelle et l’identité de genre ; donc de le compléter comme le fit Freud, sans changer la structure de l’ouvrage, ni chercher à lui imposer des remaniements de fond afin de lui donner plus de cohérence apparente. C’est ainsi que nous avons rapproché la bisexualité psychique, en tant que qualité interne du psychisme, et les sexualités, ces nombreuses variations de la vie sexuelle des humains, cette séméiologie de l’érotologie à laquelle sont attentifs tant les sexologues que les psychanalystes. Le xxe siècle, avec ses diverses libérations sexuelles, a enrichi la célèbre Psychopathia Sexualis de R. Krafft-Ebing, mais aussi exalté la fantasmatique érotique par les apports de l’éthologie venant donner corps et réalité aux plus fantasques fantaisies. Un seul et bel exemple, qui concerne la bisexualité et notre propension joyeuse
à coopter du règne animal des éléments nous permettant de satisfaire sous forme hallucinatoire nos fantaisies bisexuelles et leur rapport à la castration ; celui d’un nudibranche, la limace de mer du japon ! « Prenez le nudibranche Chromodris reticulata, une limace de mer du Japon, vivant dans les récifs de coraux peu profonds. Ces limaces sont toutes dotées d’organes sexuels à la fois mâles et femelles et peuvent s’en servir en même temps. Le pénis de chacune d’elles s’adapte à leur orifice et elles se pénètrent simultanément. Mais ce n’est pas tout. Après quelques minutes, elles perdent toutes deux leurs pénis qui tombent au fond de l’océan – mais vingt-quatre heures plus tard – elles le font repousser, ce qui leur permet de se réaccoupler, toujours et encore2 ». Dans ses Trois Essais, Freud avait de façon implicite confronté les variations sexuelles (1er essai) et la sexualité infantile (2e essai). En filigrane existe un autre référentiel qu’il avait lui-même introduit dans sa quête d’une étiologie sexuelle, entre les fixations à la sexualité infantile des névroses de transfert et les mésusages de la sexualité des névroses actuelles. Cette différenciation sous-tend la séméiologie exposée dans le premier chapitre, puis est laissée en latence au profit de la sexualité infantile et de l’avènement en deux temps, selon le procès de l’après-coup, de la sexualité humaine.
Si la castration punitive est d’office présente dans ce cheminement en tant que réponse aux transgressions incestueuses, elle trouvera une place fondatrice par le biais du troisième fantasme originaire – la castration réalisée par le père –, offrant une théorie causale au travail psychique requis par la confrontation à la réalité de la castration, à sa perception directe (le vu), et aux messages de menace qui avertissent de son existence (l’entendu).
Genres
Par contre, la notion de genre est absente des Trois Essais. Les prémisses de cette notion apparaissent juste à l’époque de la naissance de la psychanalyse, chez E. Durkheim (1897), puis chez les anthropologues (M. Mead : « le rôle sexué », 1935). Le terme lui-même de genre, avec sa signification impliquant le sexe, a été introduit en 1955 par John Money (psychologue et sexologue) dans l’expression : le « rôle de genre », puis fut repris par des psychanalystes tels que R. Stoller et R. Greenson qui forgeront le concept d’identité de genre. Ces notions seront reprises par le structuralisme dans sa dualité nature-culture, et par d’autres disciplines comme l’histoire, et plus particulièrement dans ce qui sera dénommé les Études de genre, les plus célèbres étant celle de J. Butler sur les minorités sexuelles.
Il n’est pas inutile de rappeler que la différenciation du sexe biologique et du sexe du genre a en fait été introduite beaucoup plus tôt, en 1860, bien avant l’avènement du terme de genre référée au sexe. La reconnaissance de cet écart s’est accompagnée d’un très haut niveau de conflit au sein de l’Allemagne naissante, conflit doublant celui politique de la Prusse de Bismarck avec les autres provinces concernées par cette unification. Le premier militantisme sexuel porté officiellement sur les scènes publique et juridique, avec des implications et retombées politiques, date des années 1860, et fut mené par Karl Heinrich Ulrichs (1825–1895), juriste, journaliste et homosexuel qui tenta en vain d’empêcher l’intégration dans le nouveau code pénal de la future Allemagne, censé unifier les codes contradictoires des diverses provinces, d’un article existant dans le code pénal de la Prusse condamnant la « fornication contre-nature ». Ulrichs réclamait l’émancipation de ce qu’il dénommait l’uranisme – le terme d’homosexuel date de 1869 –. La postérité a gardé attachée à sa personne cette belle phrase qui représente sa doctrine rédigée en douze traités : « Une âme de femme enfermée dans un corps d’homme. »
La notion de genre est donc née de la reconnaissance des divers écarts existant entre le sexe anatomique, les fonctions sexuelles assignées par le socius, la liberté de la fantasmatique sexuelle, le sexe biologique, réalités relevant de catégories différentes et toutes impliquées dans l’identité et l’orientation sexuelle, ces constructions les combinant selon diverses modalités, plus ou moins mobiles ou statiques, évolutive ou stables.
inscription en ligne http://colloques.societe-psychanalytique-de-paris.net/
NOTES :
- https://www.facebook.com/search/str/le+dictionnaire+des+52+nuances+de+ genre+de+facebook/keywords_search http://www.slate.fr/culture/83605/52-genre-facebook-definition
- Sy Montgomery (2018), L’Âme d’une pieuvre, Paris, Calmann-Lévy.